punk

Voix d’Altaride 35 – [?]punk

Dans ce numéro 35 nous examinons les genres qui finissent en punk en jeu de rôle, cyberpunk, steampunk, dieselpunk et tout ce qui s’en suit. Avec Sandra, Morgan, Xavier, Benoit (et Willem en coup de vent) nous débattons des genres, de ce qu’on peut en faire en nous inspirant très largement d’une table ronde qui a eu lieu aux Utopiales 2016.

Comment et pourquoi explorer ces genres avec le jeu de rôle ? Quelles histoires peut-on jouer ?  Est-ce qu’il y a un vrai intérêt à utiliser ces termes pour décrire des jeux ou des scénarios ?

Que faire de tout ça ?
Comme toujours n’hésitez pas à commenter ou à nous écrire.

Coups de Coeur / Coups de Gueule
Sandra : Michael Crichton un MJ caché ? / le prix des ebook
Morgan : Anthologie : Quantpunk / Pierre Gattaz
Benoit : Westworld, une déception ? et les élections américaines
Xavier : Marchebranche de Thomas Munier et Mutant Year Zero / les crowdfunding de blackbook
Julien P. : Les jeux de Casus, Libreté, RjdrA / les crowdfunding de BBE, le collectionneur comme cible commerciale

Et une dédicace spéciale à Karim Berrouka, auteur chez ActuSF après nous avoir fait chanter et danser comme des timbrés avec Ludwig von 88 !

2 commentaires

  1. Un podcast très intéressant sur un de mes sujets fétiches (http://lesbonsremedes.overblog.com/lettre-d%E2%80%99amour-au-steampunk)

    Quelques commentaires tout de même:
    Aujourd’hui le Steampunk est devenu une esthétique et plus un vrai genre littéraire comme c’était le cas à la base. De fait il a beaucoup perdu de son caractère « punk ».

    Pour moi le mot « punk » est devenu valise et on l’utilise à toutes les sauces. Cependant pour moi il s’associe à « Alternatif », il ne respecte pas les règles de l’époque et se joue des codes. De la même façon les personnages y sont toujours des gens à part qui utilisent leur rapport à la « technologie » pour faire changer les choses.
    Après ce qui change c’est le statut des pjs: runners en mode survie dans le Cyberpunk, aventuriers stylés dans le Steampunk ou encore héros face au nazisme dans le Dieselpunk.

    Pour finir de convaincre Julien du côté « punk » du Steampunk je le renvoie à la trilogie de Johan Heliot qui débute avec « La Lune seule le sait » où dans un monde dominé par un Napoléon III despotique, Jules Verne s’infiltre sur la Lune pour libérer Louise Michel! Si ça c’est pas la lutte des classes 😉

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